« Sound of Freedom » en tête du box-office le jour de l’ouverture, le 4 juillet
Image de "Sound of Freedom" avec Jim Caviezel. Le film est sorti en Amérique le 4 juillet 2023.
Photo: Avec l'aimable autorisation de Angel Studios
Sound of Freedom (Le son de la liberté), un nouveau film d’action sur la traite des êtres humains, a atteint la première place au box-office américain le jour de son ouverture, le 4 juillet.
Selon Box Office Mojo, un site web qui suit les recettes du box-office, « Sound of Freedom » a été le film qui a rapporté le plus d’argent le 4 juillet, avec 14,24 millions de dollars. En deuxième position se trouve « Indiana Jones et le cadran du destin », qui est sorti le 30 juin, avec 11,70 millions de dollars, et en troisième position se trouve « Elemental » avec 2,80 millions de dollars.
Sur les 14,24 millions de dollars du film, quelque 2,68 millions sont venus d’une campagne « pay it forward (payez en avance) » vendue le jour férié du 4 juillet, ce qui signifie que les 11,56 millions restants sont venus des ventes directes au box-office.
Sound of Freedom met en lumière l’expansion rapide du trafic d’enfants aux États-Unis. Il raconte l’histoire vraie d’un agent spécial qui quitte son emploi pour sauver des enfants de la traite.
« Pour une raison ou une autre, cette histoire de 4 juillet était vraiment importante », a déclaré Jim Caviezel lors d’une récente interview à l’émission « American Thought Leaders » d’EpochTV.
« Et c’est vraiment le cas : Pouvons-nous rendre leur liberté à ces enfants le jour de notre indépendance ? »
Dans le film, Jim Caviezel incarne Tim Ballard, qui a quitté son emploi au département de la Sécurité intérieure en 2013.
Depuis, Ballard a fondé Operation Underground Railroad, une organisation à but non lucratif qui collabore avec les forces de l’ordre du monde entier pour sauver les enfants de l’exploitation et aider les survivants à se rétablir.
« Je dirai que c’est une histoire vraie, absolument », a affirmé Jim Caviezel. « Chaque personnage est réel. Tous les méchants sont réels. »
« À la fin du film, on voit les bons, les méchants, les enfants, et on dit où ils sont aujourd’hui », a ajouté Tim Ballard. « Nous savons où ils sont. Ce sont de vrais enfants, chacun d’entre eux. Certains d’entre eux travaillent pour nous. Certains d’entre eux ont même sauvé des personnes de la traite des êtres humains alors qu’ils étaient de jeunes adultes.
Dans une récente interview accordée à Epoch Times, JimCaviezel a avoué que Sound of Freedom est son film le plus important depuis La Passion du Christ.
« C’est ce que j’ai fait de mieux depuis ce film. Du point de vue de la qualité, de l’interprétation, il n’y a pas un seul défaut. »
Jim Caviezel, dans un message spécial à l’écran à la fin du film, a confié qu’il pensait que Sound of Freedom pouvait être la Case de l’oncle Tom de l’esclavage du XXIe siècle.
Il a fait remarquer que le film, bien que tourné il y a cinq ans, « n’est sorti qu’aujourd’hui, avec tous les obstacles que l’on peut imaginer sur le chemin ».
Neal Harmon, PDG d’Angel Studios, a exprimé dans un communiqué : « Grâce aux fans de tout le pays, Sound of Freedom est devenu le film numéro un des États-Unis le jour de l’Indépendance. Nous avons reçu de nombreux messages nous informant que les salles étaient soit pleines, soit à guichets fermés. Ce film connaît maintenant sa propre évolution pour devenir quelque chose de plus, un mouvement populaire. »
« Avec un score de A+ au CinemaScore, nous sommes le film le mieux noté en Amérique, et nous allons voir le bouche-à-oreille se répandre encore plus au cours du week-end », a-t-il ajouté.
« Le monde a besoin de voir SOUND OF FREEDOM, et nous savons que notre plus grand avantage face à la concurrence – nos incroyables fans et investisseurs – fera en sorte que cela se produise. »
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